Synthèse personnelle de Stanislas Duval

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Sujet : Le RSA

Thème : « Avancées scientifiques et réalisation(s) technique(s)

Problématique : Pourquoi le RSA est il le système de cryptage le plus utilisé de nos jours.

Groupe : Alberic Cormerais, Baudouin Fauchier-Magnan, Matthieu Recoules et Stanislas Duval

En septembre 2009, lors de la première séance de TPE, nous avons eu le choix entre deux thèmes principaux : « Savants et science, hier et aujourd’hui » et « Avancées scientifiques et réalisation(s) technique(s) ». Puis nous avons approfondi ces deux thèmes afin de trouver différents sujets pour l’ensemble de la classe. Nous nous sommes tous mis d’accord pour placer ce sujet dans le second thème.
Nous avons tout d’abord fait différentes recherches sur la cryptologie. Puis nous nous sommes principalement intéressés au système RSA (du nom des trois mathématiciens Rivest Shamir Adleman). Ce système de cryptage repose sur différents nombres, appelés clefs. Il en existe deux types : les clefs publiques, connues de tous, et les clefs privées, connues seulement par le destinataire et l’expéditeur. L’une (la clef publique).est utiliser pour crypter le message et l’autre pour le déchiffrer. Le système RSA repose aussi sur la notion de congruence, ce qui empêche de retraduire le message grâce à la clef publique. Système le plus utilisé au monde surtout pour les cartes bancaires. Nos premières problématiques ont tourné autour des limites du RSA et d’un système de cryptage parfait.
Nous avons ensuite regardé les différentes méthodes de cryptages inventes par l’homme depuis l’antiquité nous avons surtout regardé le chiffre de Vigenère, le carré de Polybe et a un système de cryptographie beaucoup plus moderne : la cryptologie quantique. Ce type de cryptographie repose sur les règles de la physique quantique, ainsi que sur l’émission de photons un par un qui sont polarisés pour faire passer un message. De plus les mécanismes quantiques de voir si le message a été intercepté, ce qui en fait une technique de cryptage presque parfaite. Cependant la complexité de la mécanique quantique, la difficulté de mettre un système pour permettre de crypter de cette manière et le peu de résultats ne permettent de parle de la cryptologie quantique seulement de façon peu approfondie. Cela avait ouvert un piste pour la problématique « à quand une méthode de cryptage parfaite » mais la difficulté du sujet a forcé à abandonner cette piste et cette problématique.
J’ai aussi fait des recherches sur de nouveau type de cryptographie le PGP (Pretty Good Privacy) qui allie les avantages des différents types de cryptographie (symétrique ou asymétrique : les clefs sont respectivement les mêmes ou alors différentes).
Nous avons pris un rendez vous avec monsieur Reignier au début du mois de décembre pour discuter du RSA, et les différentes manipulations nécessaires avant d’encoder un message telles que de le découper en bloc de 2 ou 3 lettres et d’utiliser le code ASCII (tout caractère équivaut a un nombre défini) avant d’y appliquer le RSA.
Nous avons donc commencé à discuter de nos différents projets pour la production. Nous avons pensé utiliser le RSA, grâce à un logiciel spécifique qui en code selon les clefs que l’on lui donne, comme base de la production.
Nous avons changé de problématique à ce moment car elle ne ciblait que le système RSA et les professeurs trouvaient cela un peu trop vague. Nous sommes donc arrivés à une nouvelle problématique : « Pourquoi le RSA est il le système de cryptographie le plus utiliser de nos jours?». Nous pensons y répondre toujours en se basant sur les principes du RSA les congruences et les clefs asymétriques. Nous avions comme premières idées de production de réaliser un montage ou nous aurions montrer comment envoyer un message puis expliquer les limites de ce moyen de transmission et puis d’expliquer comment on pourrait dépasser ces limites. Puis l’un de nous a eu l’idée de créer un site internet qui pourrait servir de production finale et qui pourrait décrire une expérience que nous ferons à l’aide d’une video.

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